Intervenante de la DPJ accusée de voie de fait sur une fillette

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Une intervenante de la Direction de la protection de la jeunesse fait face à une accusation de voies de fait sur une fillette de 10 ans.

Difficile de s’imaginer pareil scénario. Pourtant, la cause est bien réelle et le procès s’est ouvert le jeudi 21 janvier au palais de justice de Chicoutimi. Nancy Larouche est accusée de voie de fait simple.

Dans le cadre de la procédure judiciaire, il a été possible d’apprendre que l’accusée s’était rendue à l’école de la victime puisque cette dernière était désorganisée. Cependant, plutôt que d’intervenir verbalement, Nancy Larouche, aurait utilisé la force physique pour contrôler la fillette de 10 ans. L’intervention s’est terminée de façon dramatique. La fillette a quitté l’école en ambulance.

Une enseignante est allée à la barre afin de témoigner sur la violence de l’intervention. Elle a expliqué à la juge que l’accusée avait mis son genou sur le torse de l’enfant pour l’immobiliser et qu’elle lui aurait tenu les bras. À ce moment-là, la fillette se serait frappé la tête sur le sol, mais plutôt que d’arrêter l’immobilisation, l’accusée aurait mentionné que lorsque la gamine aura suffisamment mal à la tête qu’elle se calmera.

Depuis le dépôt de la plainte, la Direction de la protection de la jeunesse a suspendu avec solde Nancy Larouche. Le procès a été ajourné et reprendra le 21 juin prochain.

8 thoughts on “Intervenante de la DPJ accusée de voie de fait sur une fillette

    1. Moi aussi je me pause des question moi aussi je suis aller en famille d’accueil et il me fesait sa comme la petite fille sa s’appelle des arrêts physiques et sa fait mal en ta quand ta sa tes mieux de rester calme et d’écoute sinon il arrive se qui est arriver a la petite fille c’est vraiment triste

    2. Pas dur parce quelle aura meme pas consequences comme tous les autres qui font mal leur job la dedans. Ils sont jamais tenus responsables mais ils se genent pas pour avoir de serieuses consequences dans la vie des enfants et pas dans le bon sens .

  1. Comment ils peuvent la payer tout en étant suspendu, ça a aucun sens c’est comme s’ils la récompensait d’avoir été violante.

  2. Ce n est pas pour rien que notre nation veulent prendre en charge la dpj , on connait notre monde et eux arrache de la famille et partent avec l enfant . y ont pas de sentiment , tandis nous les Innu et peu importe d ou viens cet enfant , on vala prendre soin d elle ou lui . la nation innu en generale on s occupe de nos enfants et les enfants des autres on est une grande famille .

  3. Serieux avec ce que elle a fait elle devrai etre renvoyé aucun salaire nes meriter pour cette action elle es une honte pour ce qui dit protection de la jeunesse

  4. Dégoûtant de telle violence d une intervenante envers une fillette , pas fort auprès des centres jeunesse de lui laisser avec solde

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