Sûreté du Québec

Quatre meurtres à élucider

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Lorsqu’un meurtre survient, une importante enquête est alors ouverte. Or, les résultats ne sont pas toujours ceux souhaités. Le Service de police de la Ville de Montréal a d’ailleurs 4 dossiers d’ouverts pour des meurtres non résolus.

Jeannine et Richard Léveillé

Le 15 novembre 2012, un peu après minuit, des appels sont logés à la centrale 911 concernant un incendie qui fait rage au 3559 de la rue Ontario Est à Montréal, près de l’intersection de la rue Joliette, dans le quartier Hochelaga Maisonneuve. Il s’agit d’un immeuble abritant un bar au rez-de-chaussée et une maison de chambres aux étages supérieurs.

Lorsque les premiers intervenants sont arrivés sur les lieux, ils ont dû rapidement intervenir afin de sauver des chambreurs prisonniers des flammes. Entre autres, un homme de 51 ans fût victime de brulures très graves sur 30 % de son corps et il a dû passer plusieurs semaines à l’hôpital aux soins intensifs à l’unité des grands brûlés.

Les pompiers ont réussi à maitriser les flammes, malheureusement, ils ont découvert le corps de deux personnes décédées d’asphyxie incendiaire. Il s’agit de Jeannine Léveillé Grenier 66 ans, et de son frère Richard Léveillé 56 ans. Ils habitaient dans l’immeuble et étaient voisins de chambre.

L’enquête a démontré que le mobile de ce double meurtre est une guerre de territoire entre deux groupes criminalisés pour obtenir l’exclusivité du secteur à ce qui a trait à la vente de Crack. Visiblement, un groupe avait intérêt à éliminer cet endroit. Ce qui est troublant, c’est que les trois victimes n’étaient pas du tout reliées à ce type d’activité et ne sont que des victimes innocentes.

Des témoins nous ont permis de créer un portrait-robot du suspect qui a allumé l’incendie. Si ce visage vous dit quelque chose, n’hésitez pas à communiquer avec nous afin de faire avancer notre enquête.

De plus, le suspect a laissé sur les lieux du crime certains objets qui ont été analysé par nos experts et nous avons obtenu un résultat d’ADN valable.

Toute personne ayant des informations est priée de communiquer avec le SPVM, soit en composant le 911, en se rendant dans un poste de quartier, en passant par notre site internet ou, de façon anonyme, en contactant Info-Crime Montréal. Chaque information reçue sera traitée et analysée. Le dossier demeurera ouvert tant qu’il ne sera pas résolu.

Sylvain Senneville et Valérie Martin

Le 17 décembre 2008, vers 15 h 50, un appel est fait au 911 par un témoin qui vient de trouver le corps ensanglanté de Sylvain Senneville, 34 ans, dans son logement de la rue Cuvillier dans le secteur d’Hochelaga-Maisonneuve. Il est inconscient et ne respire pas. Il y a aussi le corps d’une jeune femme allongée par terre. Il s’agit de Valérie Martin, 20 ans.

 

 

Catherine Daviau

Catherine Daviau, 26 ans, demeurait seule. Elle a été agressée sexuellement puis assassinée à l’intérieur de sa résidence le 11 décembre 2008. Le suspect a par la suite mis le feu à la résidence avant de la quitter. Les pompiers se sont présentés sur les lieux et ont découvert le corps de la victime.

 

 

 

Monique Gravel

Le 25 avril 2004, les policiers des Crimes majeurs sont appelés pour se rendre dans l’arrondissement de Saint-Laurent, sur la rue Cardinal dans une résidence unifamiliale, suite à la découverte de la victime Monique Gravel.

Quelques heures plus tard, les policiers découvrent sa voiture abandonnée avec les clés non loin des lieux, soit à l’intersection de la rue de Pontgravé et du boulevard Laurentien.

 

Description de la voiture de Madame Monique Gravel

• Oldsmobile AURORA de couleur or

Lors de l’examen de la scène, les policiers retrouvent une tuque noire laissée sur les lieux qui contient un profil d’ADN d’un homme inconnu.

Madame Gravel travaillait comme infirmière et enseignante en « Nursing » au Cégep St-Laurent.

Les enquêteurs sont convaincus que la personne ayant abandonné la tuque sur les lieux est de quelque façon impliquée dans la mort violente de Madame Gravel.

Toute personne ayant des informations est priée de communiquer avec le SPVM, soit en composant le 911, en se rendant dans un poste de quartier, en passant par notre site internet ou, de façon anonyme, en contactant Info-Crime Montréal. Chaque information reçue sera traitée et analysée. Le dossier demeurera ouvert tant qu’il ne sera pas résolu.

 

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